Quatrième de couverture : Dès l’initiale de la nouvelle titre, avec ce « frémissement de doute », Claire Keegan parvient à suggérer un trouble, que confirmeront les premiers balbutiements du prêtre au moment de célébrer le mariage. Les huit nouvelles de ce recueil, pour l’essentiel enracinées dans la terre d’Irlande, évoquent le pouvoir dévastateur des mots (La Mort lente et douloureuse), les relations des pères et de leurs filles (Le Cadeau d’adieu, La Fille du forestier), |
les amours impossibles (À travers les champs bleus, Chevaux noirs, La Nuit des sorbiers), la force des préjugés (Près du bord de l’eau) ou le poids des traditions (Renoncement). Tout comme dans L’Antarctique (2010) et Les Trois Lumières (2011), le regard acéré et les phrases ciselées de l’écrivain en imposent. Sans jamais rien affirmer, Claire Keegan parvient, dans ses textes d’une beauté lapidaire, à susciter d’inoubliables émotions de lecture.
Mon avis :
Autant le dire tout de suite je n'ai pas aimé ce recueil de huit nouvelles. Seules deux d'entre elles ont réussi à me
toucher.
Cette fois, je n'ai pas été sensible à la plume de l'auteur.
Tout ceci est bien sombre et rempli de non-dits, je n'ai pas accroché du tout et j'en suis bien déçue.
Certaines nouvelles m'ont quand même un peu surprise mais je suis vraiment passée à côté de ce livre.
Dommage car j'avais beaucoup aimé Les trois lumières du même auteur.
Allez plutôt lire l'avis enthousiaste de Clara.
Livre emprunté à la |
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